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Comment les parents devraient-ils se comporter?

Comment les parents devraient-ils se comporter? La maladie est une condition qui est comprise quand elle arrive à la personne elle-même ou quand ils sont un parent du patient. La psychologie des proches change autant que le patient. Lisez cet article sur ce que les proches traversent et ce qui peut être un guide pour eux.

Psychologie des proches du patient

Bien que la maladie soit souvent une mauvaise nouvelle qui n’arrive qu’aux personnes que vous ne connaissez pas, dont vous êtes attristé d’entendre parler, mais dont vous passez ensuite à autre chose, sa signification change soudainement lorsqu’elle arrive à vos proches. Voir la douleur de quelqu’un que vous aimez et essayer de l’aider à y faire face est l’une des expériences les plus difficiles que l’on puisse vivre dans la vie. En d’autres termes, être le parent d’un patient est également un processus difficile. Agir consciemment en tant que parent d’un patient vous aidera, vous et votre patient, à surmonter plus facilement ce processus difficile.

Étapes du choc, du déni et de la colère

Les proches peuvent également éprouver de l’impuissance, de la colère et de la dépression, parfois plus intensément que le patient. Lorsqu’un patient est diagnostiqué avec une maladie qui est considérée comme fatale, la première chose que le patient et ses proches éprouvent est le choc, suivi d’une période de déni, c.-à-d. la croyance que le diagnostic est erroné, et une période d’emmener le patient à d’autres médecins ou hôpitaux commence. Lorsque le diagnostic est confirmé, la colère peut être ressentie. Le patient peut être entraîné dans la dépression avec la pensée “je me demande si il/ elle ira mieux ou non?”. L’acceptation est la dernière étape et commence par le traitement.

Les proches des patients deviennent également déprimés

Les maladies chroniques peuvent entraîner des dilemmes émotionnels non seulement pour les patients, mais aussi pour leurs proches. La dépression chez les proches peut être causée par diverses raisons telles que l’auto-blâme, l’impuissance due à ne pas pouvoir aider le patient, l’anxiété de la perte, la peur d’être seul, l’anxiété que l’ordre économique ou social sera perturbé.

Afin de faire face aux émotions négatives, il est recommandé que la personne trouve des activités qui la détendront/ elle-même et demander l’aide d’un spécialiste si nécessaire.

Partager la responsabilité des soins aux patients

Les gens qui doivent s’occuper de quelqu’un qui est malade depuis longtemps peuvent se lasser d’assumer cette responsabilité seuls. Cela est naturel. Par conséquent, partager la responsabilité avec un frère ou une sœur ou un autre parent et, si nécessaire, recevoir un soutien psychologique aidera les proches du patient à passer par ce processus d’une manière plus saine. Ceux qui n’ont pas les moyens de le faire peuvent demander une aide professionnelle dans les soins aux patients.

Conseils pour les parents dont l’enfant est malade

Les parents se blâment d’abord quand quelque chose arrive à leurs enfants. Il est très difficile pour les parents de ne pas être en mesure d’aider lorsque leur enfant souffre. Les possibilités offertes à l’enfant pendant la maladie et les concessions faites peuvent causer divers problèmes après le rétablissement. Les familles qui peuvent établir des relations équilibrées, permettre la libre expression des émotions, avoir peu de conflits, sont ouvertes à la coopération, sont attentionnées mais pas anxieuses et ont des rôles clairs au sein de la famille pour faire face à la maladie plus facilement.

N’ignorez pas votre patient !

Savoir et vivre… Quand il s’agit de maladie, les deux deviennent des concepts très différents. Connaître la maladie est une chose, la vivre en est une autre. Le patient se débat déjà en lui- même. Les proches du patient ne font que supposer ce qui se passe et agissent selon leurs suppositions. De plus, s’il y a un problème de communication entre le patient et ses proches, les problèmes commencent. L’une des erreurs les plus courantes des proches est d’essayer de lire dans l’esprit du patient, alors qu’il est préférable de demander ce que le patient veut à la place. Par exemple, on devrait demander au patient qui il veut voir et qui il ne veut pas voir. De cette façon, il/elle est impliqué dans le processus et peut retrouver le sentiment de contrôle qu’il/elle pensait avoir perdu dans les questions liées à lui/elle.

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