Votre parent va-t-il subir une chirurgie du cancer?
Votre parent va-t-il subir une chirurgie du cancer? C’est ainsi que vous pouvez soutenir vos proches qui subiront une chirurgie pour des maladies graves telles que le cancer.
Façons de soutenir les patients atteints de chirurgie du cancer
Les personnes subissant une chirurgie majeure, comme le cancer ou la chirurgie cardiaque, peuvent inévitablement éprouver une certaine anxiété. La question “Pourquoi cela m’est-il arrivé ?” traverse souvent leur esprit et ils cherchent des réponses à cette question dans leur monde intérieur. Leurs regrets sont intenses et ils se sentent punis. Alors qu’une partie d’entre eux disent qu’ils méritaient cette chirurgie et qu’ils ne prenaient pas soin d’eux-mêmes, une partie d’entre eux pensent qu’il y a des gens dans le monde avec des crimes plus graves et que ce sont eux qui devraient être punis. Certains patients peuvent prendre la chirurgie comme une attaque personnelle et refuser la chirurgie, tandis que d’autres se sentent victimisés et se résignent au destin.
Votre parent va-t-il subir une chirurgie du cancer?: Expliquer qu’il ne doit pas personnaliser sa maladie
Dans tous les cas, les patients personnalisent la chirurgie. Avant une opération sérieuse, des discussions doivent avoir lieu sur le sujet et les réactions du patient doivent être observées afin que les patients ne personnalisent pas leur maladie et se sentent punis. Il est nécessaire d’examiner attentivement leurs réactions, et si l’on pense que leur colère ou leur tristesse est incontrôlable, il est nécessaire de leur donner le temps de chercher un soutien psychologique et d’affronter leurs peurs et leurs regrets.
Comprendre sa colère
Si l’opération est effectuée avec une décision soudaine et sans donner au patient la possibilité de se préparer, sa colère et sa tristesse doivent être comprises et sa colère et sa tristesse doivent être écoutées et comprises au lieu d’essayer de le convaincre. À ce moment-là, ce que le patient ressent est plus important que ce qu’il entend et il veut se sentir soigné.
Comprendre sa colère après la chirurgie
Les patients qui subissent des chirurgies graves ont une période de récupération plus longue que certaines chirurgies simples. Plus la période de récupération après la chirurgie est longue, plus la psychologie de la personne est affectée par le processus chirurgical. Surtout après des opérations qui présentent un risque élevé pour la vie et qui provoqueront un changement majeur dans la vie de la personne (opérations pour des maladies telles que le cœur, le cancer, la prothèse de hanche), il peut y avoir une période où les patients sont en colère contre eux-mêmes et leur environnement et deviennent irritables en associant la cause de la chirurgie à un événement. Le stress ressenti lors des chirurgies proches de la mort peut être remplacé par la colère après la chirurgie.
Votre parent va-t-il subir une chirurgie du cancer?: Soyez vigilant contre la dépression
La dépression après la chirurgie est également très fréquente. Pendant la période de récupération après la chirurgie, une personne peut se retirer, ne voulant pas parler, rire, manger ou faire quoi que ce soit. Ils peuvent dormir la majeure partie de la journée et se sentir déprimés, fatigués et impuissants. Dans la dépression postopératoire, également connue sous le nom de dépression postopératoire, le patient vit ses sentiments à l’intérieur et ne veut pas être en colère, triste ou montrer toute autre émotion et vit ses sentiments à l’intérieur. Cela entraîne une augmentation de la dépression. La libération émotionnelle est très précieuse pendant cette période.
S’il y a des signes de dépression
En cas de dépression postopératoire, le patient doit chercher un soutien psychologique sans délai. Les patients n’ont pas à faire face au fardeau de l’opération seul.Votre parent va-t-il subir une chirurgie du cancer?
Comment le patient peut-il renforcer sa psychologie?
Tout d’abord, le patient doit être patient et se donner une chance. Agir comme si les processus difficiles n’avaient jamais eu lieu et vouloir retourner à l’ancienne vie immédiatement ne fera que conduire à la déception. Le patient doit progressivement retourner à son ancienne vie et pendant ce temps, la partie de la psychologie qui affecte le corps doit être traitée en premier. Tout en régulant le sommeil, en renouvelant les habitudes alimentaires, en commençant de petits exercices sous la supervision d’un médecin permettra progressivement à la psychologie du patient de s’améliorer, il est important que le patient essaie de réguler sa/ sa psychologie sans se précipiter et se permettre/ elle-même. Il faut s’accepter comme on est et s’accepter soi-même.